Vendredi

enDans l'album photo "Vendredi", vous trouverez les meilleurs moments des concerts du vendredi avec notamment :

• Asa : Nouvelle étoile de la soul, Asa est incontestablement la révélation de ce début 2008. Un univers particulier qui n’est pas sans nous rappeler celui d’Ayo, Keziah Jones ou encore celui de Tracy Chapman. "Sa voix mêlée de douceur et mélancolie se pose sur ce premier album aux accents folk, reggae et afro funk". A travers les douze morceaux, elle n’hésite pas à dénoncer les horreurs de son pays tout en chantant en Yoruba, sa langue maternelle, qui donne une intonation exotique à ses chansons. Née à Paris, elle quitte la ville lumière à l’âge de deux ans pour le Nigeria. Bercée aux sons des plus grand, tel Marvin Gaye, Bob Marley ou encore Aretha Franklin, Asa se découvre une véritable passion pour la musique. Aujourd’hui, asa « petit faucon » s’envole de ses propres ailes pour notre plus grand plaisir. Ces concerts sont de véritables moments d’émotions où elle impose par sa présence et son énergie détonante.

• Tiken Jah fakoly : Artiste ivoirien, Tiken jah fakoly est le nouveau symbole du reggae Africain. Considéré comme le porte parole d’une jeunesse Ivoirienne, il use avec talent et sincérité des mots. Concerné par les problèmes de son pays, il dénonce les injustices, la corruption et l’instabilité des pouvoirs en place. Militant ouvertement lors de ses concerts, Tiken jah fakoly prône la paix et fait de la musique pour « éveiller la conscience de tous les peuples ». Son dernier album « l’Africain » résume cette volonté de changer les choses, des textes abordant des sujets sensibles comme l’excision ou les mariages forcées. "Des paroles engagées inspirées par la musique africaine et jamaïcaine qui donne une dimension chaleureuse et rythmé à ses morceaux. Mais Tiken Jah Fakoly est également un homme charismatique qui sait parler aux foules." Ses concerts sont de véritables moments énergiques, courant d’un bout à l’autre de la scène, Tiken jah est un artiste qui sait faire bouger sont publics.

• Le Peuple de l'Herbe : "Le Peuple de l'herbe est tout d'abord un collectif prônant à outrance la fusion des genres et des cultures". Un mixage de hip-hop, et de musiques éléctro en y intégrant une tripotée d'influences d'origine diverse (house, reggae, world...). Un véritable art de mêler avec brio plusieurs sons. Pas de frontières, ni de tabous... avec un nom pareil... pas besoin non plus de se demander de se demander très longtemps si nos amis du Peuple de l’Herbe composent sous influences ou non... ! "Le groupe est particulièrement doué pour enflammer les foules et balancer un son haut en couleur et d’une énergie sans pareil à chacun de leurs concerts."

• Rokia Traoré : "Un arc en ciel sonore". Rokia Traoré c'est avant tout une voix sublime. Des sonorités traditionnelles maliennes (ses origines) mais aussi un mélange savant de musiques occidentales le tout avec des histoires, le quotidien de son pays, de son enfance... "Une voix magique"

• Yelle : La jeune bretonne Yelle et sa pop-éléctro fluo est apparue en 2005/2006, grâce à sa page myspace, son véritable prénom est Julie. Un brin "provocatrice" et une pop sucrée... c'est essentiellement l'univers de Yelle !!!

• La Phaze : Un concert vitaminé !!! Porté par l'énergie et la force de "Nouveau défi" et d' "Assaut final", le "pungle" (formé de jungle et punk) de La Phaze se nourrit d'influences rock, free jazz, ragga et de rap. La Phaze, c'est avant tout une rage. Rage de dire la détresse des uns, la colère des autres, le mépris des nantis et les incohérences d'un système rongé de l'intérieur par l'argent et le pouvoir. La Phaze a déjà conquis les foules. Le Pungle Power est en marche. L'aventure se poursuit au festival avec l'album Miracle.

• Origines Controlées : "A tous ceux et celles qui ont eu le courage de tenter l'aventure de l'immigration..." Après Zebda, 100% Collègues et les Motivés, les frères toulousains Mouss et Hakim reviennent avec « Origines contrôlées » un nouveau projet musical aux dimensions historiques puisqu’ils exhument aujourd’hui pas loin de 40 ans de chansons, toutes composées par des artistes algériens exilés en France. "Le reflet d’une parole qui a déjà été prise depuis bien longtemps, qui nous aide à mieux savoir quelle est cette identité partagée"